Apollo 11 : images des derniers instants du rendez-vous entre l’étage de remontée du module lunaire Eagle et le module de commande et de service Columbia, filmées par Michael Collins.
https://video.nostr.build/ef9c1e0cf3be47ac3e3653293adcf02cb61f4fd25633b8a079a9e6fd3ddbfc3b.mp4
#Space #Espace
Astronostr
Astronostr@NostrVerified.com
npub1rgv9...av9x
Un regard sur l’espace 🔭 🪐
Notes (20)
Nébuleuse de Lower SH2-261
📷 Antomar21
📷 Antomar21L’astronaute Stephen K. Robinson, solidement arrimé à un repose-pieds fixé au Canadarm2 de la Station spatiale internationale.
En toile de fond, le noir profond de l’espace et l’horizon terrestre composent le décor grandiose de l’image (3 août 2005).
#Space #Espace
#Space #EspacePanorama pris par le pilote du module lunaire d’Apollo 17, Harrison Schmitt.
On peut apercevoir Gene Cernan en train de fixer une carte sur le panneau d’instruments du Rover lunaire.
https://video.nostr.build/61d5fb1850f9066f37ea771e53ca971b3a979bcbd4b60d41aa4e62fca29dd7a0.mp4
#Space #Espace #Moon #Lune
Apollo 14, Fra Mauro Highlands.
Ed Mitchell a pris cette photographie des premiers pas d'Alan Shepard sur la Lune. Il s'agit de la toute première photo prise lors de la première sortie extravéhiculaire depuis le hublot du module lunaire.


Image astronomique du jour
6 décembre 2025
Apollo 17 au cratère Shorty
Équipage d’Apollo 17, NASA
Explication :
Il y a cinquante-trois ans, en décembre 1972, les astronautes d’Apollo 17 Eugene Cernan et Harrison Schmitt ont passé environ 75 heures sur la Lune à explorer la vallée Taurus-Littrow, tandis que leur collègue Ronald Evans orbitait au-dessus d’eux. Ce cliché venu d’un autre monde a été pris par Cernan alors que Schmitt et lui parcouraient le fond de la vallée lunaire. L’image montre Schmitt à côté du rover lunaire stationné sur le bord sud-est du cratère Shorty. Cet endroit se situe près du lieu où le géologue Schmitt a découvert un mystérieux sol lunaire orangé.
L’équipage d’Apollo 17 est revenu avec 110 kilogrammes d’échantillons de roches et de sol, davantage que n’importe quel autre site d’alunissage. Et pour l’instant… Cernan et Schmitt sont les derniers humains à avoir marché sur la Lune.
#Space #Espace
Apollo 17 au cratère Shorty
Équipage d’Apollo 17, NASA
Explication :
Il y a cinquante-trois ans, en décembre 1972, les astronautes d’Apollo 17 Eugene Cernan et Harrison Schmitt ont passé environ 75 heures sur la Lune à explorer la vallée Taurus-Littrow, tandis que leur collègue Ronald Evans orbitait au-dessus d’eux. Ce cliché venu d’un autre monde a été pris par Cernan alors que Schmitt et lui parcouraient le fond de la vallée lunaire. L’image montre Schmitt à côté du rover lunaire stationné sur le bord sud-est du cratère Shorty. Cet endroit se situe près du lieu où le géologue Schmitt a découvert un mystérieux sol lunaire orangé.
L’équipage d’Apollo 17 est revenu avec 110 kilogrammes d’échantillons de roches et de sol, davantage que n’importe quel autre site d’alunissage. Et pour l’instant… Cernan et Schmitt sont les derniers humains à avoir marché sur la Lune.
#Space #EspaceUne tempête de poussière sur plusieurs centaines de kilomètres au-dessus du Sahara (image prise depuis la Station spatiale internationale).
📷 NASA/ISS
#Space #Espace
📷 NASA/ISS
#Space #EspaceTaches solaires géantes : aurores boréales Imminentes ?
Des taches solaires gigantesques, visibles à l’œil nu (à condition de se protéger correctement les yeux, évidemment !), sont actuellement en train de faire leur grande apparition… et elles pourraient bien annoncer leur bouquet final : de possibles aurores boréales à venir !
Depuis le 1er décembre environ, un groupe de taches solaires d’une taille absolument démente — s’étalant sur plus de trente fois le diamètre de la Terre — pivote lentement pour faire face à notre planète. Cela faisait de très nombreuses années qu’une région aussi vaste et aussi intensément magnétisée ne s’était présentée aussi clairement dans notre direction.
#Sun #Soleil #Astronomie #Astronomy #Nostrfr
Des taches solaires gigantesques, visibles à l’œil nu (à condition de se protéger correctement les yeux, évidemment !), sont actuellement en train de faire leur grande apparition… et elles pourraient bien annoncer leur bouquet final : de possibles aurores boréales à venir !
Depuis le 1er décembre environ, un groupe de taches solaires d’une taille absolument démente — s’étalant sur plus de trente fois le diamètre de la Terre — pivote lentement pour faire face à notre planète. Cela faisait de très nombreuses années qu’une région aussi vaste et aussi intensément magnétisée ne s’était présentée aussi clairement dans notre direction.
#Sun #Soleil #Astronomie #Astronomy #Nostrfr
Image astronomique du jour
5 décembre 2025
Les jets bipolaires de KX Andromedae
Crédit image & Copyright : Tim Schaeffer et le Deep Sky Collective
Explication :
S’échappant à grande vitesse de l’étoile variable KX Andromedae, ces magnifiques jets bipolaires s’étendent sur 19 années-lumière de long. Récemment découverts, ils sont révélés avec un niveau de détail sans précédent dans cette image télescopique profonde centrée sur KX And, composée de plus de 692 heures de données d’exposition cumulées.
En réalité, KX And est, d’après son spectre, un système binaire interactif constitué d’une étoile brillante et chaude de type B accompagnée d’une géante rouge gonflée qui orbite très près d’elle. La matière stellaire de la géante rouge est probablement transférée vers l’étoile chaude de type B via un disque d’accrétion, ce qui génère des jets symétriques spectaculaires projetés perpendiculairement au plan de ce disque.
La distance connue de KX And (2 500 années-lumière), la taille angulaire des jets et l’inclinaison estimée du disque d’accrétion permettent d’estimer la longueur de chaque jet à l’incroyable valeur de 19 années-lumière.
Source : https://apod.nasa.gov/apod/astropix.html
#Astronomie
Les jets bipolaires de KX Andromedae
Crédit image & Copyright : Tim Schaeffer et le Deep Sky Collective
Explication :
S’échappant à grande vitesse de l’étoile variable KX Andromedae, ces magnifiques jets bipolaires s’étendent sur 19 années-lumière de long. Récemment découverts, ils sont révélés avec un niveau de détail sans précédent dans cette image télescopique profonde centrée sur KX And, composée de plus de 692 heures de données d’exposition cumulées.
En réalité, KX And est, d’après son spectre, un système binaire interactif constitué d’une étoile brillante et chaude de type B accompagnée d’une géante rouge gonflée qui orbite très près d’elle. La matière stellaire de la géante rouge est probablement transférée vers l’étoile chaude de type B via un disque d’accrétion, ce qui génère des jets symétriques spectaculaires projetés perpendiculairement au plan de ce disque.
La distance connue de KX And (2 500 années-lumière), la taille angulaire des jets et l’inclinaison estimée du disque d’accrétion permettent d’estimer la longueur de chaque jet à l’incroyable valeur de 19 années-lumière.
Source : https://apod.nasa.gov/apod/astropix.html
#AstronomieCette image de Mimas, satellite naturel de Saturne, a été prise par la sonde Cassini le 13 février 2010.
L’image a été capturée en lumière visible verte à l’aide de la caméra à angle étroit du vaisseau spatial Cassini, le 13 février 2010.
La vue a été obtenue à une distance d’environ 70 000 kilomètres de Mimas.


Trois tourbillons de poussière martiens (ou diables de poussière) peuvent être vus près du bord du cratère Jezero dans cette courte vidéo réalisée à partir d'images prises par une caméra de navigation à bord du rover Perseverance de la NASA, le 6 septembre 2025.
https://video.nostr.build/5446ae751f22162b850ab5deb18d528456c0e8b66b5a9c4bbf7c25f4c319ff8d.mp4
📷 NASA/JPL-Caltech/SSI
Survol de l’astéroïde Donaldjohanson par la sonde Lucy
L'astéroïde Donaldjohanson, vu par l'imageur de reconnaissance à longue portée Lucy (L'LORRI) à bord de la sonde Lucy de la NASA lors de son survol. Cette série d'images en accéléré présente des clichés pris environ toutes les 2 secondes, le 20 avril 2025 L'astéroïde tourne très lentement ; la rotation apparente observée ici est due au mouvement de la sonde lors de son survol de Donaldjohanson à une distance comprise entre 1 600 et 1 100 km La distance minimale de passage de la sonde était de 960 km, mais les images présentées ont été prises environ 40 secondes auparavant, les plus proches ayant été capturées à une distance de 1 100 km.
Crédit : NASA/Goddard/ SwRI/Johns Hopkins APL/NOIRLab
#Space #Espace #Nostrfr
L'astéroïde Donaldjohanson, vu par l'imageur de reconnaissance à longue portée Lucy (L'LORRI) à bord de la sonde Lucy de la NASA lors de son survol. Cette série d'images en accéléré présente des clichés pris environ toutes les 2 secondes, le 20 avril 2025 L'astéroïde tourne très lentement ; la rotation apparente observée ici est due au mouvement de la sonde lors de son survol de Donaldjohanson à une distance comprise entre 1 600 et 1 100 km La distance minimale de passage de la sonde était de 960 km, mais les images présentées ont été prises environ 40 secondes auparavant, les plus proches ayant été capturées à une distance de 1 100 km.
Crédit : NASA/Goddard/ SwRI/Johns Hopkins APL/NOIRLab
#Space #Espace #NostrfrLe vestige de supernova de la Nébuleuse Medulla
Crédit image & droits d’auteur : Russell Croman
Qu’est-ce qui alimente cette nébuleuse inhabituelle ? CTB-1 est la coquille de gaz en expansion laissée lorsqu’une étoile massive, en direction de la constellation de Cassiopée, a explosé il y a environ 10 000 ans. L’étoile a probablement détoné lorsqu’elle a manqué, près de son cœur, d’éléments capables de créer une pression stabilisatrice par la fusion nucléaire.
Le vestige de supernova qui en résulte, surnommé la Nébuleuse Medulla en raison de sa forme semblable à un cerveau, continue de briller dans la lumière visible grâce à la chaleur générée par sa collision avec le gaz interstellaire environnant. Pourquoi la nébuleuse brille également en rayons X reste cependant un mystère.
Une hypothèse suggère qu’un pulsar énergétique a été créé en même temps et qu’il alimente la nébuleuse par un vent rapide se dirigeant vers l’extérieur. En suivant cette piste, un pulsar a récemment été découvert dans les ondes radio, et il semblerait qu’il ait été expulsé par l’explosion de la supernova à une vitesse supérieure à 1 000 kilomètres par seconde.
Bien que la Nébuleuse Medulla apparaisse aussi grande qu’une pleine Lune, elle est si faible qu’il a fallu 130 heures d’exposition avec deux petits télescopes au Nouveau-Mexique, aux États-Unis, pour créer l’image présentée.
Crédit image & droits d’auteur : Russell Croman
Qu’est-ce qui alimente cette nébuleuse inhabituelle ? CTB-1 est la coquille de gaz en expansion laissée lorsqu’une étoile massive, en direction de la constellation de Cassiopée, a explosé il y a environ 10 000 ans. L’étoile a probablement détoné lorsqu’elle a manqué, près de son cœur, d’éléments capables de créer une pression stabilisatrice par la fusion nucléaire.
Le vestige de supernova qui en résulte, surnommé la Nébuleuse Medulla en raison de sa forme semblable à un cerveau, continue de briller dans la lumière visible grâce à la chaleur générée par sa collision avec le gaz interstellaire environnant. Pourquoi la nébuleuse brille également en rayons X reste cependant un mystère.
Une hypothèse suggère qu’un pulsar énergétique a été créé en même temps et qu’il alimente la nébuleuse par un vent rapide se dirigeant vers l’extérieur. En suivant cette piste, un pulsar a récemment été découvert dans les ondes radio, et il semblerait qu’il ait été expulsé par l’explosion de la supernova à une vitesse supérieure à 1 000 kilomètres par seconde.
Bien que la Nébuleuse Medulla apparaisse aussi grande qu’une pleine Lune, elle est si faible qu’il a fallu 130 heures d’exposition avec deux petits télescopes au Nouveau-Mexique, aux États-Unis, pour créer l’image présentée.Image astronomique du jour
4 décembre 2025
Des galaxies dans la Fournaise
Crédit image & droits d’auteur : Simone Curzi et l’équipe ShaRA
Explication :
Voici un exemple de violence à l’échelle cosmique : l’énorme galaxie elliptique NGC 1316 se trouve à environ 75 millions d’années-lumière en direction de Fornax, la constellation australe de la Fournaise. En étudiant ce spectacle saisissant, les astronomes soupçonnent la galaxie géante d’entrer en collision avec sa voisine plus petite, NGC 1317, visible juste à droite du centre de la grande galaxie, produisant des courants stellaires lointains en boucles et en coquilles.
La lumière de leur rencontre rapprochée aurait atteint la Terre il y a environ 100 millions d’années. Sur cette image télescopique très nette, les régions centrales de NGC 1316 et NGC 1317 apparaissent séparées de plus de 100 000 années-lumière. Les bandes de poussière complexes visibles indiquent également que NGC 1316 est elle-même le résultat de la fusion de galaxies dans un passé lointain.
Située à la périphérie de l’amas de galaxies de Fornax, NGC 1316 est aussi connue sous le nom de Fornax A. L’une des galaxies les plus brillantes visuellement de l’amas de Fornax, elle est aussi l’une des sources radio célestes les plus puissantes et les plus vastes, avec une émission radio s’étendant bien au-delà de ce champ de vision large d’un degré.
Source : https://apod.nasa.gov/apod/astropix.html
#Astronomie
Des galaxies dans la Fournaise
Crédit image & droits d’auteur : Simone Curzi et l’équipe ShaRA
Explication :
Voici un exemple de violence à l’échelle cosmique : l’énorme galaxie elliptique NGC 1316 se trouve à environ 75 millions d’années-lumière en direction de Fornax, la constellation australe de la Fournaise. En étudiant ce spectacle saisissant, les astronomes soupçonnent la galaxie géante d’entrer en collision avec sa voisine plus petite, NGC 1317, visible juste à droite du centre de la grande galaxie, produisant des courants stellaires lointains en boucles et en coquilles.
La lumière de leur rencontre rapprochée aurait atteint la Terre il y a environ 100 millions d’années. Sur cette image télescopique très nette, les régions centrales de NGC 1316 et NGC 1317 apparaissent séparées de plus de 100 000 années-lumière. Les bandes de poussière complexes visibles indiquent également que NGC 1316 est elle-même le résultat de la fusion de galaxies dans un passé lointain.
Située à la périphérie de l’amas de galaxies de Fornax, NGC 1316 est aussi connue sous le nom de Fornax A. L’une des galaxies les plus brillantes visuellement de l’amas de Fornax, elle est aussi l’une des sources radio célestes les plus puissantes et les plus vastes, avec une émission radio s’étendant bien au-delà de ce champ de vision large d’un degré.
Source : https://apod.nasa.gov/apod/astropix.html
#Astronomie🌌 Cette magnifique image, montrant les nuages colorés de la nébuleuse de la Lagune d'où émergera une future génération d’étoiles, a été capturée par le télescope spatial Hubble.
📷 Nasa/ESA/STScI
📷 Nasa/ESA/STScIPREMIER VOL HISTORIQUE POUR ZHUQUE-3 ! 🇨🇳
https://video.nostr.build/5b0aaeadc9b85d15740f0ba9f05320c8833d4cee5d8d501f53810b592d10cae3.mp4 https://video.nostr.build/d22189f0507e94d65858de63e6f348a19d9f755e40fda258838ef7f82950c8f5.mp4
🚀 La nouvelle fusée réutilisable de LandSpace, Zhuque-3, a pris son envol ce matin ! C'était son tout premier décollage.
Le plus important ? Le deuxième étage a atteint l'orbite avec succès dès cette première tentative ! C'est une performance impressionnante pour la Chine.
💔 Le petit bémol : L'atterrissage du premier étage a malheureusement échoué. Il a atteint sa zone de récupération avec précision, mais n'a pas réussi à ralentir (probablement un souci au rallumage des moteurs).
Même si l'atterrissage est un échec, l'atteinte de l'orbite est une victoire majeure. La route vers les lanceurs réutilisables est semée d'embûches, mais LandSpace est dans la course ! ✨
#Espace #Space #Nostrfr
Vue spectaculaire sur Mars : panorama capturé par la caméra Mastcam de Curiosity depuis le bord du cratère Gale. Image traitée et améliorée pour faire ressortir les détails des paysages martiens.
Crédit : NASA/JPL-Caltech/MSSS
#Mars
Crédit : NASA/JPL-Caltech/MSSS
#MarsLe rover martien Perseverance de la NASA a capturé cette scène montrant le terrain glissant qui rend son ascension vers le bord du cratère Jezero difficile. On peut voir les traces du rover s’étirer au loin, en direction du fond du cratère.
📷 NASA / JPL-Caltech
#Mars
📷 NASA / JPL-Caltech
#Mars🌞 30 ans d’observation du Soleil par SOHO
L’Observatoire solaire et héliosphérique (SOHO), une mission conjointe de l’ESA et de la NASA, observe le Soleil depuis 30 ans, couvrant près de trois cycles solaires de 11 ans.
Un montage animé composé de 30 images, prises par le télescope d’imagerie dans l’ultraviolet extrême, illustre l’évolution de notre étoile. Les images les plus brillantes correspondent au maximum solaire, période de forte activité magnétique. Durant cette phase, le Soleil émet un rayonnement intense en ultraviolet extrême et libère un flux accru de particules chargées.
#Nostrfr #Sun #Soleil
L’Observatoire solaire et héliosphérique (SOHO), une mission conjointe de l’ESA et de la NASA, observe le Soleil depuis 30 ans, couvrant près de trois cycles solaires de 11 ans.
Un montage animé composé de 30 images, prises par le télescope d’imagerie dans l’ultraviolet extrême, illustre l’évolution de notre étoile. Les images les plus brillantes correspondent au maximum solaire, période de forte activité magnétique. Durant cette phase, le Soleil émet un rayonnement intense en ultraviolet extrême et libère un flux accru de particules chargées.
#Nostrfr #Sun #SoleilLa nébuleuse de la Mouette
Crédit & droits d’auteur : Gianni Lacroce
Une vaste étendue de gaz et de poussière lumineux présente aux astronomes depuis la planète Terre un visage semblable à celui d’un oiseau, suggérant son surnom populaire : la nébuleuse de la Mouette. Ce portrait de l’oiseau cosmique couvre une bande de 2,5 degrés de large à travers le plan de la Voie lactée, près de la direction de Sirius, l’étoile alpha de la constellation du Grand Chien (Canis Major).
Bien sûr, la région comprend des objets ayant d’autres désignations de catalogue, notamment NGC 2327, une nébuleuse compacte d’émission et de réflexion poussiéreuse contenant une étoile massive intégrée qui forme la tête de l’oiseau.
Faisant probablement partie d’une structure de coque plus vaste balayée par des explosions successives de supernovae, la large nébuleuse de la Mouette est cataloguée sous les noms Sh2-296 et IC 2177. L’arc bleuté proéminent en dessous et à droite du centre est une onde de choc en arc provenant de l’étoile fugitive FN Canis Majoris.
Dominé par la lueur rougeâtre de l’hydrogène atomique, cet ensemble de nuages de gaz et de poussière, avec d’autres étoiles de l’association OB1 du Grand Chien, s’étend sur plus de 200 années-lumière à la distance estimée de 3 800 années-lumière de la nébuleuse de la Mouette.
#Nostrfr
Crédit & droits d’auteur : Gianni Lacroce
Une vaste étendue de gaz et de poussière lumineux présente aux astronomes depuis la planète Terre un visage semblable à celui d’un oiseau, suggérant son surnom populaire : la nébuleuse de la Mouette. Ce portrait de l’oiseau cosmique couvre une bande de 2,5 degrés de large à travers le plan de la Voie lactée, près de la direction de Sirius, l’étoile alpha de la constellation du Grand Chien (Canis Major).
Bien sûr, la région comprend des objets ayant d’autres désignations de catalogue, notamment NGC 2327, une nébuleuse compacte d’émission et de réflexion poussiéreuse contenant une étoile massive intégrée qui forme la tête de l’oiseau.
Faisant probablement partie d’une structure de coque plus vaste balayée par des explosions successives de supernovae, la large nébuleuse de la Mouette est cataloguée sous les noms Sh2-296 et IC 2177. L’arc bleuté proéminent en dessous et à droite du centre est une onde de choc en arc provenant de l’étoile fugitive FN Canis Majoris.
Dominé par la lueur rougeâtre de l’hydrogène atomique, cet ensemble de nuages de gaz et de poussière, avec d’autres étoiles de l’association OB1 du Grand Chien, s’étend sur plus de 200 années-lumière à la distance estimée de 3 800 années-lumière de la nébuleuse de la Mouette.
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