Spectaculaire décollage du Starship de SpaceX.
https://video.nostr.build/4bf7124cebcae5532d80acbe0ddd11555ef190d0fbcaf2db12de90a9209ee5e6.mp4
#Space #Espace
Astronostr
Astronostr@NostrVerified.com
npub1rgv9...av9x
Un regard sur l’espace 🔭 🪐
Notes (20)
Préparation de la mission MMX (Martian Moons Exploration)
📷 JAXA
La mission japonaise MMX décollera en octobre 2026 pour étudier les deux lunes de Mars : Phobos et Déimos.
En plus d’une longue campagne d’observations scientifiques, le vaisseau est équipé pour rapporter des échantillons de Phobos et déposera à sa surface un robot mobile franco-allemand.
#Mars
📷 JAXA
La mission japonaise MMX décollera en octobre 2026 pour étudier les deux lunes de Mars : Phobos et Déimos.
En plus d’une longue campagne d’observations scientifiques, le vaisseau est équipé pour rapporter des échantillons de Phobos et déposera à sa surface un robot mobile franco-allemand.
#MarsImages d’Apollo 14 montrant les astronautes descendant du module lunaire et plantant un drapeau américain.
https://video.nostr.build/d166740c5b2c38f9ebad3ba28127452696436002fd6612447e875766ac86d3eb.mp4
📽 NASA
#Espace #Space
Image astronomique du jour
26 novembre 2025
Champ profond de l’amas globulaire M15
Crédit image & copyright : Alvaro Ibanez Perez
Explication : les étoiles, telles des abeilles, bourdonnent autour du cœur brillant de l’amas globulaire M15.
Cette boule centrale de plus de 100 000 étoiles est un vestige des premières années de notre Galaxie et continue d’orbiter autour du centre de la Voie lactée.
M15, l’un des quelque 150 amas globulaires encore existants, est célèbre pour être facilement visible aux jumelles,
posséder en son centre l’une des plus fortes densités d’étoiles connues,
contenir une grande quantité d’étoiles variables et de pulsars (des étoiles à neutrons à la rotation frénétique !).
L’image présentée a été obtenue en combinant des poses extrêmement longues — 122 heures au total — ce qui révèle de délicats filaments de gaz et de poussières devant l’immense boule stellaire.
M15 se situe à environ 35 000 années-lumière, en direction de la constellation du Cheval Ailé (Pégase)
Source : https://apod.nasa.gov/apod/astropix.html
#Astronomie #Astronomy
Champ profond de l’amas globulaire M15
Crédit image & copyright : Alvaro Ibanez Perez
Explication : les étoiles, telles des abeilles, bourdonnent autour du cœur brillant de l’amas globulaire M15.
Cette boule centrale de plus de 100 000 étoiles est un vestige des premières années de notre Galaxie et continue d’orbiter autour du centre de la Voie lactée.
M15, l’un des quelque 150 amas globulaires encore existants, est célèbre pour être facilement visible aux jumelles,
posséder en son centre l’une des plus fortes densités d’étoiles connues,
contenir une grande quantité d’étoiles variables et de pulsars (des étoiles à neutrons à la rotation frénétique !).
L’image présentée a été obtenue en combinant des poses extrêmement longues — 122 heures au total — ce qui révèle de délicats filaments de gaz et de poussières devant l’immense boule stellaire.
M15 se situe à environ 35 000 années-lumière, en direction de la constellation du Cheval Ailé (Pégase)
Source : https://apod.nasa.gov/apod/astropix.html
#Astronomie #Astronomy🌍 OSIRIS-APEX survole la Terre avant sa mission vers Apophis
https://video.nostr.build/eac42b263664b4d207639f6560e043a44be1cf509d5f79e7f0bb6519938b8468.mp4
La sonde OSIRIS-APEX de la NASA a photographié la Terre alors qu’elle passait à environ 3 400 kilomètres au-dessus de sa surface. À titre de comparaison, les satellites en orbite terrestre basse évoluent généralement jusqu’à 1 200 miles (2 000 kilomètres) d’altitude.
Cette vidéo, composée d’environ 424 images individuelles capturées par l’imager StowCam de l’engin spatial, montre le pont instrumental d’OSIRIS-APEX au premier plan tout en offrant une vue de la Terre alors que la sonde survole l’océan Atlantique. On distingue l’Amérique du Sud sur le côté gauche de l’image.
OSIRIS-APEX, ex-OSIRIS-REx reconvertie en exploratrice cosmique, a désormais pour mission de rejoindre et d’étudier de près l’astéroïde Apophis. Elle analysera sa surface, sa structure et les secousses que l’astéroïde subira lors de son passage très rapproché de la Terre en 2029 — un véritable contrôle technique interplanétaire.
📽 : NASA/Goddard/University of Arizona/Lockheed Martin
#Space #Espace
Caloris en couleurs améliorées
Crédit image : NASA, Johns Hopkins Univ. APL, Arizona State U., CIW
Le vaste bassin Caloris sur Mercure est l’un des plus grands bassins d’impact du système solaire, formé au tout début de l’histoire du système solaire par l’impact d’un corps de la taille d’un gros astéroïde. Ce bassin fracturé et aux multiples reliefs s’étend sur environ 1 500 kilomètres dans cette mosaïque en couleurs améliorées, réalisée à partir des données d’imagerie de la sonde MESSENGER en orbite autour de Mercure.
Caloris, le plus jeune grand bassin d’impact de Mercure, a ensuite été rempli par des laves qui apparaissent orange dans la mosaïque. Les cratères formés après cette inondation ont excavé des matériaux situés sous les laves de surface. Ces matériaux, visibles par des teintes bleu contrastantes, offrent probablement un aperçu du sol original du bassin. L’analyse de ces cratères suggère que l’épaisseur de la couverture volcanique est comprise entre 2,5 et 3,5 kilomètres. Les taches oranges autour du pourtour du bassin seraient des évents volcaniques.
Crédit image : NASA, Johns Hopkins Univ. APL, Arizona State U., CIW
Le vaste bassin Caloris sur Mercure est l’un des plus grands bassins d’impact du système solaire, formé au tout début de l’histoire du système solaire par l’impact d’un corps de la taille d’un gros astéroïde. Ce bassin fracturé et aux multiples reliefs s’étend sur environ 1 500 kilomètres dans cette mosaïque en couleurs améliorées, réalisée à partir des données d’imagerie de la sonde MESSENGER en orbite autour de Mercure.
Caloris, le plus jeune grand bassin d’impact de Mercure, a ensuite été rempli par des laves qui apparaissent orange dans la mosaïque. Les cratères formés après cette inondation ont excavé des matériaux situés sous les laves de surface. Ces matériaux, visibles par des teintes bleu contrastantes, offrent probablement un aperçu du sol original du bassin. L’analyse de ces cratères suggère que l’épaisseur de la couverture volcanique est comprise entre 2,5 et 3,5 kilomètres. Les taches oranges autour du pourtour du bassin seraient des évents volcaniques.Ceraunius Tholus : le volcan qui déverse ses secrets
Crédit : ESA
Ceraunius Tholus, discret voisin des géants martiens, n’en reste pas moins une curiosité géologique de premier ordre. Bien qu’il culmine « seulement » à plus de 8 km — un nain à côté d’Olympus Mons, mais un colosse comparé aux volcans terrestres — son histoire fascine les planétologues.
Sa taille impressionnante s’explique par l’absence de tectonique des plaques sur Mars : les points chauds restent immobiles, permettant à la lave de s’empiler joyeusement au même endroit pendant des millions d’années.
Mais le clou du spectacle, c’est un grand chenal entaillant son flanc. Large de 3 km et profond de 500 m, il ressemble à s’y méprendre à un tube de lave effondré… ou, plus mystérieux encore, au passage d’un ancien déversoir d’eau. Ce chenal débouche directement dans un cratère formé par un impact oblique, offrant à l’ensemble une allure asymétrique parfaitement intrigante.
Un volcan, un déversoir et un cratère… Ceraunius Tholus n’a peut-être pas la célébrité d’Olympus Mons, mais côté mystères, il joue dans la même cour !
#Mars
Crédit : ESA
Ceraunius Tholus, discret voisin des géants martiens, n’en reste pas moins une curiosité géologique de premier ordre. Bien qu’il culmine « seulement » à plus de 8 km — un nain à côté d’Olympus Mons, mais un colosse comparé aux volcans terrestres — son histoire fascine les planétologues.
Sa taille impressionnante s’explique par l’absence de tectonique des plaques sur Mars : les points chauds restent immobiles, permettant à la lave de s’empiler joyeusement au même endroit pendant des millions d’années.
Mais le clou du spectacle, c’est un grand chenal entaillant son flanc. Large de 3 km et profond de 500 m, il ressemble à s’y méprendre à un tube de lave effondré… ou, plus mystérieux encore, au passage d’un ancien déversoir d’eau. Ce chenal débouche directement dans un cratère formé par un impact oblique, offrant à l’ensemble une allure asymétrique parfaitement intrigante.
Un volcan, un déversoir et un cratère… Ceraunius Tholus n’a peut-être pas la célébrité d’Olympus Mons, mais côté mystères, il joue dans la même cour !
#Mars🌋 Les Volcans Ceraunius Tholus et Uranius Tholus
Ceraunius Tholus (en haut) et Uranius Tholus (en bas) forment un duo volcanique pétillant au cœur de la région de Tharsis, sur Mars.
Le premier, Ceraunius Tholus, affiche un diamètre d’environ 130 km et se dresse fièrement à 5,5 km au-dessus du paysage martien. Ses flancs sont sillonnés de nombreuses vallées qui lui donnent un charme de vieil aventurier érodé.
Son voisin Uranius Tholus, plus modeste mais tout aussi distingué, mesure 62 km à la base pour une hauteur d’environ 4,5 km. Un petit volcan, certes, mais au panache tout à fait respectable !
📷 Crédit : ESA/DLR/FU Berlin (G. Neukum), CC BY-SA 3.0 IGO
#Mars
Ceraunius Tholus (en haut) et Uranius Tholus (en bas) forment un duo volcanique pétillant au cœur de la région de Tharsis, sur Mars.
Le premier, Ceraunius Tholus, affiche un diamètre d’environ 130 km et se dresse fièrement à 5,5 km au-dessus du paysage martien. Ses flancs sont sillonnés de nombreuses vallées qui lui donnent un charme de vieil aventurier érodé.
Son voisin Uranius Tholus, plus modeste mais tout aussi distingué, mesure 62 km à la base pour une hauteur d’environ 4,5 km. Un petit volcan, certes, mais au panache tout à fait respectable !
📷 Crédit : ESA/DLR/FU Berlin (G. Neukum), CC BY-SA 3.0 IGO
#MarsÀ Baïkonour, les préparatifs sont en cours d'achèvement pour le vaisseau spatial de transport habité Soyouz MS-28, destiné à la 74e mission de longue durée vers la Station spatiale internationale.
Les spécialistes de RKK Energuya ont terminé les procédures d'encapsulation sous la coiffe de la charge utile
Source et crédits photographiques: Energuya/Roscosmos
#Space #Espace
#Space #EspaceGalaxie Starburst Messier 94
Cette image montre la galaxie Messier 94, située dans la petite constellation boréale des Chiens de chasse, à environ 16 millions d'années-lumière.
À l'intérieur de l'anneau brillant qui entoure Messier 94, de nouvelles étoiles se forment à un rythme élevé et de nombreuses jeunes étoiles brillantes y sont présentes – c'est pourquoi cette caractéristique est appelée un anneau de formation d'étoiles.
La forme particulière de cette région de formation d'étoiles est probablement due à une onde de pression se propageant depuis le centre galactique, comprimant le gaz et la poussière des régions périphériques. Cette compression entraîne l'effondrement du gaz en nuages plus denses. À l'intérieur de ces nuages, la gravité attire le gaz et la poussière jusqu'à ce que la température et la pression soient suffisamment élevées pour permettre la formation d'étoiles.
Crédit: ESA/Hubble et NASA
#Astronomie #Astronomy
Cette image montre la galaxie Messier 94, située dans la petite constellation boréale des Chiens de chasse, à environ 16 millions d'années-lumière.
À l'intérieur de l'anneau brillant qui entoure Messier 94, de nouvelles étoiles se forment à un rythme élevé et de nombreuses jeunes étoiles brillantes y sont présentes – c'est pourquoi cette caractéristique est appelée un anneau de formation d'étoiles.
La forme particulière de cette région de formation d'étoiles est probablement due à une onde de pression se propageant depuis le centre galactique, comprimant le gaz et la poussière des régions périphériques. Cette compression entraîne l'effondrement du gaz en nuages plus denses. À l'intérieur de ces nuages, la gravité attire le gaz et la poussière jusqu'à ce que la température et la pression soient suffisamment élevées pour permettre la formation d'étoiles.
Crédit: ESA/Hubble et NASA
#Astronomie #Astronomy☀️ CHRONIQUES SOLAIRES : un aperçu de 48 heures (du 10 au 12 septembre 2025) de notre Soleil, capturé par le satellite Solar Dynamics Observatory (Observatoire de la dynamique solaire) de la NASA.
https://video.nostr.build/6fdab0e800a4628259a58e7f98541212f8472b2be1fabbf9c5406455380513a6.mp4
#Sun #Soleil
Blue Moon MK1 : le nouvel atterrisseur lunaire géant de Blue Origin
Via ses réseaux sociaux, Jeff Bezos a dévoilé le Blue Moon MK1, le tout nouvel atterrisseur lunaire de Blue Origin, annoncé comme le plus imposant jamais construit pour atteindre la Lune. Son lancement est prévu au plus tôt début 2026.
D’une hauteur de huit mètres, le module MK1 dépasse en taille le célèbre module Apollo et est conçu pour transporter la charge utile scientifique de la NASA vers la région polaire sud de la Lune, près du cratère Shackleton. Cette innovation marque une étape majeure dans la collaboration entre l’industrie privée et l’agence spatiale américaine, ouvrant la voie aux futures missions habitées.
Le Blue Moon MK1 se distingue par sa capacité de transport, pouvant acheminer jusqu’à trois tonnes de ravitaillement sur la surface lunaire. Une prouesse qui en fait un vaisseau cargo clé pour le développement des infrastructures nécessaires à l’exploration lunaire. Ses dimensions et ses performances en font un pilier central des prochaines étapes du programme spatial, surpassant largement celles des modules utilisés lors des missions Apollo.
#Espace #Space
Via ses réseaux sociaux, Jeff Bezos a dévoilé le Blue Moon MK1, le tout nouvel atterrisseur lunaire de Blue Origin, annoncé comme le plus imposant jamais construit pour atteindre la Lune. Son lancement est prévu au plus tôt début 2026.
D’une hauteur de huit mètres, le module MK1 dépasse en taille le célèbre module Apollo et est conçu pour transporter la charge utile scientifique de la NASA vers la région polaire sud de la Lune, près du cratère Shackleton. Cette innovation marque une étape majeure dans la collaboration entre l’industrie privée et l’agence spatiale américaine, ouvrant la voie aux futures missions habitées.
Le Blue Moon MK1 se distingue par sa capacité de transport, pouvant acheminer jusqu’à trois tonnes de ravitaillement sur la surface lunaire. Une prouesse qui en fait un vaisseau cargo clé pour le développement des infrastructures nécessaires à l’exploration lunaire. Ses dimensions et ses performances en font un pilier central des prochaines étapes du programme spatial, surpassant largement celles des modules utilisés lors des missions Apollo.
#Espace #Space
Phobos dévoilé sur fond de planète rouge
Crédits : ESA/DLR/FUBerlin/Andrea Luck CC BY
En orbite autour de Mars depuis plus de 20 ans, la sonde européenne Mars Express a photographié Phobos. Après traitement, le petit satellite naturel s’exhibe au premier plan d’une vaste et majestueuse portion de la planète rouge. Pour le plaisir des yeux…
Il navigue autour de Mars tel une bille sombre flottant dans l’espace. Avec à peine 25 km d’envergure, Phobos est le plus grand des deux satellites naturels de la planète rouge. La sonde Mars Express l’a photographié en juillet 2024 grâce à sa caméra stéréo à haute résolution (HRSC). Dans les jours qui ont suivi, le passionné de traitement d’images spatiales Andrea Luck a assemblé ces données partagées par l’ESA pour révéler ce sublime tableau martien.
#Mars #Nostrfr
Crédits : ESA/DLR/FUBerlin/Andrea Luck CC BY
En orbite autour de Mars depuis plus de 20 ans, la sonde européenne Mars Express a photographié Phobos. Après traitement, le petit satellite naturel s’exhibe au premier plan d’une vaste et majestueuse portion de la planète rouge. Pour le plaisir des yeux…
Il navigue autour de Mars tel une bille sombre flottant dans l’espace. Avec à peine 25 km d’envergure, Phobos est le plus grand des deux satellites naturels de la planète rouge. La sonde Mars Express l’a photographié en juillet 2024 grâce à sa caméra stéréo à haute résolution (HRSC). Dans les jours qui ont suivi, le passionné de traitement d’images spatiales Andrea Luck a assemblé ces données partagées par l’ESA pour révéler ce sublime tableau martien.
#Mars #NostrfrMars Perseverance Sol 1687
Le rover Mars Perseverance de la NASA a capturé cette image à l’aide de sa caméra Mastcam-Z gauche. Mastcam-Z est une paire de caméras située en hauteur sur le mât du rover.
Cette image a été prise le 18 novembre 2025 (Sol 1687) à 10:31:58, heure solaire moyenne locale.
Crédit image : NASA/JPL-Caltech/ASU
#Mars
Le rover Mars Perseverance de la NASA a capturé cette image à l’aide de sa caméra Mastcam-Z gauche. Mastcam-Z est une paire de caméras située en hauteur sur le mât du rover.
Cette image a été prise le 18 novembre 2025 (Sol 1687) à 10:31:58, heure solaire moyenne locale.
Crédit image : NASA/JPL-Caltech/ASU
#MarsDes voisines poussiéreuses
📷 : NASA, ESA, CSA, STScI, Y. Han (Caltech), R. White (Macquarie University), A. Pagan (STScI)
Cette nouvelle image infrarouge moyenne du télescope spatial James Webb (NASA/ESA/CSA) révèle pour la première fois quatre coquilles de poussière en spirale autour d’une paire d’étoiles Wolf-Rayet connue sous le nom d’Apep. Jusqu’ici, les autres télescopes n’en avaient montré qu’une seule. Ces structures étonnantes se forment parce que les deux étoiles Wolf-Rayet accomplissent une orbite complète l’une autour de l’autre tous les 190 ans. Lorsqu’elles s’approchent étroitement – une phase qui dure environ 25 ans – leurs vents stellaires extrêmement rapides entrent en collision et produisent de la poussière de carbone amorphe. Celle-ci est ensuite propulsée vers l’extérieur, formant des coquilles en spirale qui s’enroulent comme une vague figée dans l’espace.
#nostrfr #Astronomy #Astronomie
📷 : NASA, ESA, CSA, STScI, Y. Han (Caltech), R. White (Macquarie University), A. Pagan (STScI)
Cette nouvelle image infrarouge moyenne du télescope spatial James Webb (NASA/ESA/CSA) révèle pour la première fois quatre coquilles de poussière en spirale autour d’une paire d’étoiles Wolf-Rayet connue sous le nom d’Apep. Jusqu’ici, les autres télescopes n’en avaient montré qu’une seule. Ces structures étonnantes se forment parce que les deux étoiles Wolf-Rayet accomplissent une orbite complète l’une autour de l’autre tous les 190 ans. Lorsqu’elles s’approchent étroitement – une phase qui dure environ 25 ans – leurs vents stellaires extrêmement rapides entrent en collision et produisent de la poussière de carbone amorphe. Celle-ci est ensuite propulsée vers l’extérieur, formant des coquilles en spirale qui s’enroulent comme une vague figée dans l’espace.
#nostrfr #Astronomy #Astronomie🌞 La protubérance en cavale !
Sur le Soleil, une énorme langue de plasma s’est détachée de ses boucles magnétiques et s’est mise à filer vers l’espace… à plus de 170 km/s ! 🔥
📷 : Eric Coles
📷 : Eric Coles Image astronomique du jour
22 novembre 2025
Transit de Dione et Rhéa devant les anneaux
Crédit image & droits d’auteur : Christopher Go
Explication :
À gauche du disque planétaire strié de Saturne, les petites lunes glacées Dione et Rhéa se faufilent devant l’immense système d’anneaux du géant gazeux dans ce cliché télescopique ultra-net. L’image a été capturée le 20 novembre, alors que les anneaux de Saturne étaient presque vus par la tranche depuis la Terre. En réalité, tous les 13 à 16 ans, l’alignement Terre-Saturne offre une série de passages du plan des anneaux. Lors d’un tel passage, la vue « par la tranche » rend les anneaux, pourtant si brillants, presque invisibles !
D’ici le 23 novembre, les anneaux atteindront leur inclinaison minimale, au plus fin de ce qu’on peut observer depuis notre planète, avant de recommencer à s’ouvrir, tout guillerets. Évidemment, Dione et Rhéa, elles, trottinent autour de Saturne près du plan des anneaux tous les 2,7 et 4,5 jours respectivement. La prochaine série de passages du plan des anneaux vue depuis la Terre débutera en 2038.
#Astronomie #Astronomy #nostrfr
Transit de Dione et Rhéa devant les anneaux
Crédit image & droits d’auteur : Christopher Go
Explication :
À gauche du disque planétaire strié de Saturne, les petites lunes glacées Dione et Rhéa se faufilent devant l’immense système d’anneaux du géant gazeux dans ce cliché télescopique ultra-net. L’image a été capturée le 20 novembre, alors que les anneaux de Saturne étaient presque vus par la tranche depuis la Terre. En réalité, tous les 13 à 16 ans, l’alignement Terre-Saturne offre une série de passages du plan des anneaux. Lors d’un tel passage, la vue « par la tranche » rend les anneaux, pourtant si brillants, presque invisibles !
D’ici le 23 novembre, les anneaux atteindront leur inclinaison minimale, au plus fin de ce qu’on peut observer depuis notre planète, avant de recommencer à s’ouvrir, tout guillerets. Évidemment, Dione et Rhéa, elles, trottinent autour de Saturne près du plan des anneaux tous les 2,7 et 4,5 jours respectivement. La prochaine série de passages du plan des anneaux vue depuis la Terre débutera en 2038.
#Astronomie #Astronomy #nostrfrL'image époustouflante de deux galaxies qui vont fusionner prise par le télescope James Webb.
📷 : NASA, ESA, CSA, STScI
La Nasa a dévoilé une image du James Webb qui représente la galaxie du Pingouin et la galaxie de l'Œuf, collectivement connues sous le nom d'ARP 142. Leur interaction continue a été déclenchée il y a entre 25 et 75 millions d'années, lorsque le Pingouin et l'Œuf (NGC 2937) ont effectué leur premier rapprochement. Les deux continueront à se tourner autour, complétant plusieurs orbites supplémentaires, avant de fusionner et de former une unique galaxie dans des centaines de millions d’années.
📷 : NASA, ESA, CSA, STScI
La Nasa a dévoilé une image du James Webb qui représente la galaxie du Pingouin et la galaxie de l'Œuf, collectivement connues sous le nom d'ARP 142. Leur interaction continue a été déclenchée il y a entre 25 et 75 millions d'années, lorsque le Pingouin et l'Œuf (NGC 2937) ont effectué leur premier rapprochement. Les deux continueront à se tourner autour, complétant plusieurs orbites supplémentaires, avant de fusionner et de former une unique galaxie dans des centaines de millions d’années.La Falaise Australe au sein de la Nébuleuse de la Lagune (Messier 8 / NGC 6523)
Crédit : Tulia I. Arias et Rodolfo H. Barba (Dept. Física, Univ. de La Serena), ICATE–CONICET, Gemini Observatory/AURA
Des crêtes brillantes ondoyantes et des nuages poussiéreux traversent ce gros plan de la région de formation stellaire voisine M8, aussi connue sous le nom de nébuleuse de la Lagune. Image composite en fausses couleurs combinant des données en bande étroite (visible) et en bande large (infrarouge proche), capturée par le télescope Gemini Sud de 8 mètres, cette vue entière s’étend sur environ 20 années-lumière à travers une zone de la nébuleuse parfois appelée la Falaise Australe.
L’image, riche en détails, explore l’association de nombreuses étoiles nouveau-nées nichées au bout des nuages à bords lumineux, ainsi que des objets Herbig-Haro. Abondants dans les régions où naissent les étoiles, ces objets Herbig-Haro se forment lorsque de puissants jets expulsés par de jeunes étoiles en pleine croissance chauffent les nuages de gaz et de poussière environnants.
La Lagune cosmique se trouve à environ 5 000 années-lumière, en direction de la constellation du Sagittaire et du centre de notre Voie lactée.
#nostrfr #Astronomy #Astronomie
Crédit : Tulia I. Arias et Rodolfo H. Barba (Dept. Física, Univ. de La Serena), ICATE–CONICET, Gemini Observatory/AURA
Des crêtes brillantes ondoyantes et des nuages poussiéreux traversent ce gros plan de la région de formation stellaire voisine M8, aussi connue sous le nom de nébuleuse de la Lagune. Image composite en fausses couleurs combinant des données en bande étroite (visible) et en bande large (infrarouge proche), capturée par le télescope Gemini Sud de 8 mètres, cette vue entière s’étend sur environ 20 années-lumière à travers une zone de la nébuleuse parfois appelée la Falaise Australe.
L’image, riche en détails, explore l’association de nombreuses étoiles nouveau-nées nichées au bout des nuages à bords lumineux, ainsi que des objets Herbig-Haro. Abondants dans les régions où naissent les étoiles, ces objets Herbig-Haro se forment lorsque de puissants jets expulsés par de jeunes étoiles en pleine croissance chauffent les nuages de gaz et de poussière environnants.
La Lagune cosmique se trouve à environ 5 000 années-lumière, en direction de la constellation du Sagittaire et du centre de notre Voie lactée.
#nostrfr #Astronomy #AstronomieLe lac Baïkal, photographié depuis la Station spatiale internationale.

