La nébuleuse de la Mouette
Crédit & droits d’auteur : Gianni Lacroce
Une vaste étendue de gaz et de poussière lumineux présente aux astronomes depuis la planète Terre un visage semblable à celui d’un oiseau, suggérant son surnom populaire : la nébuleuse de la Mouette. Ce portrait de l’oiseau cosmique couvre une bande de 2,5 degrés de large à travers le plan de la Voie lactée, près de la direction de Sirius, l’étoile alpha de la constellation du Grand Chien (Canis Major).
Bien sûr, la région comprend des objets ayant d’autres désignations de catalogue, notamment NGC 2327, une nébuleuse compacte d’émission et de réflexion poussiéreuse contenant une étoile massive intégrée qui forme la tête de l’oiseau.
Faisant probablement partie d’une structure de coque plus vaste balayée par des explosions successives de supernovae, la large nébuleuse de la Mouette est cataloguée sous les noms Sh2-296 et IC 2177. L’arc bleuté proéminent en dessous et à droite du centre est une onde de choc en arc provenant de l’étoile fugitive FN Canis Majoris.
Dominé par la lueur rougeâtre de l’hydrogène atomique, cet ensemble de nuages de gaz et de poussière, avec d’autres étoiles de l’association OB1 du Grand Chien, s’étend sur plus de 200 années-lumière à la distance estimée de 3 800 années-lumière de la nébuleuse de la Mouette.
#Nostrfr
Crédit & droits d’auteur : Gianni Lacroce
Une vaste étendue de gaz et de poussière lumineux présente aux astronomes depuis la planète Terre un visage semblable à celui d’un oiseau, suggérant son surnom populaire : la nébuleuse de la Mouette. Ce portrait de l’oiseau cosmique couvre une bande de 2,5 degrés de large à travers le plan de la Voie lactée, près de la direction de Sirius, l’étoile alpha de la constellation du Grand Chien (Canis Major).
Bien sûr, la région comprend des objets ayant d’autres désignations de catalogue, notamment NGC 2327, une nébuleuse compacte d’émission et de réflexion poussiéreuse contenant une étoile massive intégrée qui forme la tête de l’oiseau.
Faisant probablement partie d’une structure de coque plus vaste balayée par des explosions successives de supernovae, la large nébuleuse de la Mouette est cataloguée sous les noms Sh2-296 et IC 2177. L’arc bleuté proéminent en dessous et à droite du centre est une onde de choc en arc provenant de l’étoile fugitive FN Canis Majoris.
Dominé par la lueur rougeâtre de l’hydrogène atomique, cet ensemble de nuages de gaz et de poussière, avec d’autres étoiles de l’association OB1 du Grand Chien, s’étend sur plus de 200 années-lumière à la distance estimée de 3 800 années-lumière de la nébuleuse de la Mouette.
#Nostrfr
📷 Roger Ménard
M 51, la galaxie du Tourbillon. Une des galaxies que les astronomes amateurs aiment photographier car elle est relativement brillante, étendue, colorée, et presque toujours visible près de la queue de la Grande Ourse. Elle est à 27 millions d’années-lumière de nous
On peut voir une autre galaxie (NGC 5195 en bas) qui est en interaction avec M 51. Selon le scénario à l’étude, NGC 5195 aurait pénétré le disque de M 51 de l’arrière vers nous il y a 500 millions d’années et aurait effectué un autre croisement vers l’arrière il y a 50 à 100 millions d’années jusqu’à sa position actuelle légèrement derrière M 51.
#Astronomy #Astronomie
M77 : Galaxie spirale avec un centre actif
Crédit image : Hubble, NASA, ESA, L. C. Ho, D. Thilker
Explication : que se passe-t-il au centre de la galaxie spirale voisine M77 ? Cette galaxie vue de face se trouve à seulement 47 millions d’années-lumière, en direction de la constellation du Monstre Marin (Cetus). À cette distance estimée, ce superbe univers-île mesure environ 100 000 années-lumière de large.
Également connue sous le nom de NGC 1068, son noyau compact et très lumineux est bien étudié par les astronomes qui explorent les mystères des trous noirs supermassifs dans les galaxies actives de Seyfert. Le noyau actif de M77 brille intensément aux longueurs d’onde des rayons X, de l’ultraviolet, du visible, de l’infrarouge et des ondes radio.
L’image nette présentée de M77 a été prise par le télescope spatial Hubble. Elle montre les détails des bras spiraux enroulés de la galaxie, dessinés par des nuages de poussière rouge obscurcissants et des amas d’étoiles bleus, tous tournant autour du centre lumineux blanc éclatant de la galaxie.
Source : 
Le sommet du pic au premier plan atteint une altitude de 6 710 mètres, soit environ 7 000 mètres de dénivellation par rapport au point le plus bas visible en bas de l’image. Les deux pics à l’horizon, situés à 200 kilomètres de distance, culminent respectivement à 4 320 mètres et 4 680 mètres, et tous deux s’élèvent de plus de 6 000 mètres au-dessus de leurs environs.
Vue d’ouest en est à travers la portion orientale du bassin Pôle Sud–Aitken.
Crédit image : LRO (Lunar Reconnaissance Orbiter), NASA / GSFC / Arizona State University
Mairan T, un dôme siliceux
Le volcan siliceux Mairan T culmine à plus de 600 mètres et son albédo contraste fortement avec celui des basaltes sombres des mers océaniques environnantes (Oceanus Procellarum). Vue d'ouest en est, la scène s'étend sur 6,6 kilomètres de large.
📷 NASA/GSFC/Arizona State University
Crédit : NASA / JPL-Caltech
#Mars
#Space #Espace
Crédit image : HiRISE, MRO, LPL (Université d’Arizona), NASA
Une partie de Mars se décongèle. Autour du pôle Sud martien, vers la fin de chaque été martien, la chaleur provoque l’évaporation d’une section de la vaste calotte de dioxyde de carbone. Des fosses commencent à apparaître et à s’agrandir là où la glace sèche de dioxyde de carbone se sublime directement en gaz. Ces creux dans la couche de glace peuvent sembler bordés d’or, mais la composition exacte de la poussière qui souligne les parois des fosses reste inconnue. Les dépressions circulaires visibles vers le centre de l’image mesurent environ 60 mètres de diamètre. La caméra HiRISE à bord de l’orbiteur Mars Reconnaissance Orbiter a capturé cette image.
#Mars #Nostrfr
📷 ESA, DLR, FU Berlin, CC by-sa 3.0 IGO
Dans cette vue, la lune glacée de Saturne, Rhéa, passe devant Titan, telle que vue par la sonde Cassini de la NASA. Certaines différences entre ces deux grandes lunes sont immédiatement visibles. Alors que Rhéa est un monde fortement criblé de cratères et dépourvu d’atmosphère, l’atmosphère riche en azote de Titan est même plus dense que celle de la Terre.
Cette image en couleurs naturelles a été prise en lumière visible avec la caméra à angle étroit de Cassini le 19 novembre 2009, à une distance d’environ 1 148 000 kilomètres de Rhéa.
Crédit : NASA/JPL-Caltech/Institut des sciences spatiales
#Espace #Space #Nostrfr
NGC 6888 : la nébuleuse du Croissant
Crédit image & copyright : Greg Bass
Explication : NGC 6888, aussi appelée la nébuleuse du Croissant, mesure environ 25 années-lumière de diamètre. C’est une bulle cosmique soufflée par les vents violents de son étoile centrale massive. Cette image télescopique profonde utilise des données en bandes étroites afin d’isoler la lumière émise par les atomes d’hydrogène et d’oxygène.
Ce sont précisément les atomes d’oxygène qui produisent cette adorable teinte bleu-vert, semblant envelopper les replis et filaments très détaillés de la nébuleuse.
Au cœur du nuage, l’étoile centrale de NGC 6888 est classée comme une étoile de Wolf-Rayet (WR 136). Elle perd son enveloppe externe dans un vent stellaire d’une puissance titanesque, expulsant l’équivalent de la masse du Soleil tous les 10 000 ans. Oui, rien que ça.
Les structures complexes de la nébuleuse sont probablement dues à l’interaction entre ce vent intense et la matière éjectée lors d’une phase antérieure de l’étoile.
Brûlant son carburant à une vitesse folle et arrivant à la fin de sa vie stellaire, cette étoile devrait finir en beauté par une spectaculaire explosion de supernova (boum cosmique garanti !).
Située dans la constellation riche en nébuleuses du Cygne, NGC 6888 se trouve à environ 5 000 années-lumière de la Terre.
Source :
📷 ESA/DLR/FU Berlin G. Neukum
La caméra à haute résolution HRSC (High Resolution Stereo Camera) de la sonde interplanétaire de l’Agence spatiale européenne (ESA), Mars Express, a capturé le 25 mai 2004 cette image de la partie occidentale de Valles Marineris, dont le fond est couvert par une épaisse couche de brouillard.
#Mars
Cette vue prise par la caméra Mastcam du rover Curiosity montre un monticule sombre, appelé « Ireson Hill », qui s’élève d’environ 5 mètres au-dessus des couches de roche plus rouges de la formation Murray, sur la partie basse du mont Sharp, près d’un endroit où Curiosity avait examiné une dune de sable linéaire en février 2017.
11 juillet 2017
Crédit : NASA/JPL-Caltech/MSSS
#Mars
📷 Steven Reyes
Crédit image / Traitement & Licence
Hubble, NASA, ESA / Judy Schmidt
R Aquarii est un système stellaire binaire symbiotique situé à environ 710 années-lumière. Il est composé d’une géante rouge variable de type Mira et d’une naine blanche chaude et dense, en orbite autour de leur centre de masse commun. La géante rouge domine la lumière visible, tandis que la naine blanche attire une partie de sa matière, déclenchant périodiquement des explosions thermonucléaires. Le télescope spatial Hubble a capturé l’anneau de débris en expansion, issu d’une explosion observée au début des années 1770.
#Astronomy #Astronomie